mercredi 18 janvier 2012

Hier encore...

Voilà ma Gillou, vous n'êtes désormais que cendres... cela pouvait être un dernier jour mais j'ai comme la sensation d'une renaissance... d'un nouveau départ, d'un nouvel édifice, d'une nouvelle construction.
Vous n'étiez qu'amour, sourire et pardon. La construction de ma précédente phrase me gêne, c'est légitime, hier encore vous me preniez dans vos bras et m'embrassiez... me serriez contre vous et me disiez : j'ai le manque de toi ! (avêqueu l'accent provençal, chantant et tout doux à mon oreille).
Le présent, le passé... ?! 
Vous êtes, vous étiez et vous resterez une Dame importante à mon coeur, un modèle, mon amie, ma confidente. 
A tout bientôt Ma Gillou... 



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